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| Sujet: Ruby Nightingal {- Le petit chaperon rouge est un fantôme... Lun 5 Mar - 20:54 | |
| ∞ Ruby Cassiopée Andromède Nightingal Toi ♥ ♥ Prénom ou surnom : Ruby suffira amplement ! ♥ Age : 13 ans. ♥ Sexe : Je suis une vrai fille ! ♥ Compétence en rp : Environ 500 mots par post, soit plus d'une trentaine lignes. Oh, d'ailleurs, j'ai fais ma présentation à la deuxième personne et les description sous forme de lettre à Ruby, j'espère que ça ne dérangera pas ! En tout cas, je RP à la troisième personne. Ton personnage ♥ ♥ Nom & Prénom :Nightingal Ruby, c'est ainsi que tu te présente mais est-ce ton vrai nom ? Non, car tu l'as oublié il y a bien longtemps... ♥ Age : Oh, voilà bien longtemps que tu ne le compte plus ! Tu sais seulement que tu avais aux alentours de 22 ans lors de ta mort... ♥ Sexe : Même maintenant, tu es toujours une fille ma chère Ruby ! ♥ Groupe : A ton plus grand malheur, tu n'es plus qu'un spectre... Pauvre fille... ♥ Pouvoirs : Tu es juste un pauvre fantôme chère Ruby, donc comme la plupart de ces êtres, si je puis dire, tu peux te rendre invisible et traverser les murs. Mais toi, tu peux en plus de ça voir lorsque la vie va quitter le corps de gens que tu regarde dans les yeux, mais ce n'est très précis seulement lorsque c'est proche... En tout cas, il t'est formellement interdit de parler de leur date de mort aux autres, sinon il t'arriverait quelque chose d'horrible... Oh, tu vas bien mon rubis ? Tu es toute pâle... Tu peux aussi donner un consistance à ton corps, très chère, mais cela ne dure que quelques courtes minutes... Dommage ! ♥ Tics & Manies : Tu as l'habitude de passer ta tête par les portes pendant les cours, tu sais tout ce qui se passe dans le pensionnat... Tu as toujours une oreille qui traine, vilaine ! ♥ Couleurs préférées : Tu aime la couleur argenté, même si ce n'est pas tout à fait une couleur... Le rouge te plait bien aussi, à en croire le nom que tu t'es donné... ♥ Plat préféré : Tu ne mange plus, c'est dommage non ? De ton vivant, tu avais un faible pour tout ce qui est sucré, mais voilà des lustres que tu n'as plus mangé un seul bonbon... ♥ Activités préférées : Mon rubis, tu aimes toujours autant lire, même après ta mort, la culture est tellement importante à tes yeux ! Tu adores aussi faire des farces aux élèves, peut-être parce que tu es jalouse d'eux ! Et il y a bien sûr ta grande passion, la course. Qu'est-ce que tu aimes courrir, ma douce ! ♥ Rêve : Oh, Ruby, tu rêves depuis des années de pouvoir quitter enfin la Terre pour le Paradis, mais depuis le temps que tu es là, ce n'est pas demain la veille... Oh non, ne pleures pas ! ♥ Cauchemars : En boucle, toujours et toujours tu vois et revois le jour de ta mort, qu'est-ce que tu aimerais l'oublier comme ton vrai nom ! Tu as tellement peur de voir la mort des gens tous les jours, mon pauvre rubis... ♥ Métier actuel ou futur : Oh, mais les fantômes n'ont pas de métier très chère ! Tu es condamnée, Ruby, à ne rien faire de tes journées ! ♥ Description morale :Mon petit rubis écarlate, Je suis tellement effondrée que tu nous aie quittés alors que nous étions en si mauvais termes, à cause d’une chose idiote de ma part… Enfin, ton caractère de cochon n’a rien fait pour que je puisse te pardonner. Je me rappelle en détail de ton caractère : neutre, impassible. Tu étais un vrai fantôme, à ne jamais te manifester. Tes professeurs ont toujours dit que tu étais tellement dans ta bulle qu’ils en oubliaient que tu étais là ! Quand on te parlait, tu ne répondais pas toujours, juste quand la conversation t’intéressait. On pouvait t’insulter comme on le voulait, tu ne répliquais jamais. Enfin, si, mais par derrière. On ne savait jamais ce que tu pensais, mon rubis, tu ne parlais que si on t’y forçait ! Quand tu marchais dans la rue, tu étais constamment dans ton petit monde, toujours en train de rêver à on ne savait trop quoi… Il me semble qu’en fait, tu ne rêvais pas mais tu te posais des questions existentielles… Depuis toujours d’ailleurs, depuis toute petite, tu t’interroge sur ce qu’il y a après la mort, ce que vaut la vie et d’autres choses dans ce goût là… C’est triste à dire, mais maintenant, tu as sûrement la réponse à la première de tes questions… C’était aussi étonnant la façon dont tu pouvais analyser le comportement ! En un clin d’œil, tu peux deviner le caractère et les habitudes de certaines personnes, tu remarquais tous les plus infimes détails, un vrai don pour la psychologie !
Mais quand on réussissait à briser ta carapace de rubis froid, une tout autre toi se montrait ! Pleine de vie, toujours à courir dans tous les sens, presque hyperactive ! Tu aimais plus que tous les challenges et les défis et passais ton temps à vouloir faire la course. Pff… On le faisait pour te faire plaisir, puisqu’on a vite compris qu’il était impossible de courir plus vite que toi, avec tes jambes de gazelle… Tu attachais une très grande importance à ta culture générale, toujours à lire des livres. Tu avais épuisé la bibliothèque municipale en moins de deux ! Sous ta carapace, tu étais tellement souriante ; un sourire enchanteur et charmant, pur et sincère. C’était tellement beau de voir cela illuminer ton visage… Enfin, seul un cercle de privilégiés avait droit d’entrevoir ce caractère : Aaron, ton petit ami, moi, ta grande sœur, Maureen, ta meilleure amie, et le reste de la famille. Tu étais vraiment étrange. Je me souviens aussi que tu avais très peur du feu et du noir, mais que tu ramassais les araignées dans ta main et que tu les mettais dans une boite pour effrayer tes camarades de classe…
Tu avais aussi un ego surdimensionné, tu détestais plus que tout être blessée dans ton orgueil. Celui qui osait de faire remarquer ton erreur était plus tard achevé par des piques assassines, des rumeurs et d’autres choses du genre… La façon dont tu te vengeais était… effrayante. Le pire, cela reste la fois où tu as tué quelqu’un. Personne n’a jamais su que c’était toi, à part moi. Enfin, je crois. D’une balle dans la tête, celle qui c’était moquée de toi et t’avait frappé fut achevée rapidement, sans témoin ni preuve. Sauf le revolver que j’ai trouvé dans ta chambre, mais j’ai gardé ça pour moi, j’avais peur que tu ais de gros ennuis en cas contraire. Tuer ou détruire quelqu’un moralement ne te faisait rien, tu n’as jamais éprouvé de remord à l’idée que tu avais mit fin aux jours de cette fille. Enfin, je suis sûre que ce n’est pas la seule, pas mal d’élève de ton ancienne école, au collège, on été retrouvés morts… C’est effrayant, mon rubis, de savoir ce que tu as pu faire derrière tes airs innocents… Enfin, tu as peut-être regretté, puisque tu as mis fin à tes jours récemment… J’en suis désolée, je t’adorais, mon petit rubis écarlate.
Lacie. ♥ Description physique : Mon cher petit chaperon rouge, tu nous as quittés mais pourtant, je ne pourrais jamais oublier la façon dont tes pieds glissent sur le sol comme deux petites plumes portées par le vent, souvent déchaussés pour pouvoir courir dans l’herbe ou encore grimper aux arbres. Ils étaient tout blancs, ces petits pieds, mais pleins de cicatrices à cause des nombreuses fois où, pieds nus, tu as marché sur un caillou ou en insecte avec un dard… Au-dessus de ces pieds, tu as deux mollets fin et musclés par une adoration de la course toujours aussi pâles, surmontés de cuisses minces, bien proportionnées et fermes, musclées elles aussi pour le grand plaisir de la gente masculine. Des jambes idéales. Fines mais musclées, idéales pour courir vite et longtemps comme tu aimais. Tu as de belles hanches pas trop marquées mais tout de même visible donnant toute sa féminité à ta silhouette, et un ventre plat aux muscles légèrement apparents, sans que cela en devienne laid. Vient ensuite ta poitrine, pas surdimensionnée, au contraire. Mon chaperon rouge, tu n’as jamais eu vraiment beaucoup de poitrine, va savoir pourquoi. Dans l’ensemble, ton corps ressemble un peu à celui d’une petite fille, tu ne dois pas dépasser le mètre cinquante-quatre et trente-cinq kilogrammes… C’est plutôt mignon, mais ta taille t’a toujours complexé… Enfin, ça peut se comprendre. Quand à ta peau, elle a toujours été pâle, malgré le temps que tu passais à t’amuser au soleil, c’était plutôt étrange, car même après des vacances à Miami, tu étais toujours aussi fantomatique…
Tes bras aussi, étaient étonnants. Tu avais beaucoup de muscles pour monter aux arbres comme tu le faisais, et pourtant ils restaient fins et élégants, habiles et délicats. Enfin, il ne fallait pas regarder les cicatrices, pour en avoir autant, tu as du te casser la figure de nombreuses fois. Enfin, tu étais une grande spécialiste du gadin débile, alors ce n’est pas étonnant. Tu étais capable de te casser la figure sur terrain plat avec des chaussures comme des ballerines, ça aussi c’était impressionnant ! Si après cela on remontait tes épaules frêles et pourtant tout aussi musclées que le reste de ton corps, on apercevait un cou fin et délicat, comme de la porcelaine, souvent entouré d’un collier en rubis et en or blanc. Il représentait un rossignol, si je me souviens bien. Tu l’aimais beaucoup, c’était ton porte bonheur ! Après ce cou vient ton visage. Ah, ce visage si doux, si fin, si beau… Tu avais un joli petit nez en trompette, je te charriais souvent à cause de ça d’ailleurs, des joues légèrement roses et des lèvres fines comme celles d’une petite poupée. Mais ce qui m’a le plus marqué dans ce joli minois, ce sont ces yeux, ces yeux si incroyables ! Ce magnifique rouge, rouge feu, rouge rubis. Comme un couché de soleil. Mais ils étaient aussi tellement inexpressifs, c’est vraiment dommage… A part quand tu riais, on voyait alors une petite étincelle de malice s’allumer…
Et puis ce que j’aime le plus chez toi, mon petit chaperon rouge, tes cheveux. Au premier abord, ils paraissent noirs, une cascade corbeau chutant du sommet de ton crâne au creux de tes reins. Etrangement, cette couleur décline souvent ! D’après mes observation, c’est en fonction de la luminosité, mais je n’en ai jamais été sûr… Je les dirais dans les tons mauve foncés, bordeaux les jours humides ; mais plutôt bleu marine, bleu nuit les jours ensoleillés. Quant aux jours nuageux, ils sont simplement noirs comme les abysses.
Tu étais belle, petit chaperon rouge, mais hélas tu es partie trop tôt ! Je n’oublierai jamais cette magnifique jeune femme pétillante que tu étais. Je t’aime.
Aaron. ♥ Histoire : Ma douce et précieuse petite étoile, ma jolie Alice, Pas besoin de préciser qui je suis, je suis persuadé que tu t’en doute ! C’est tellement amusant que tout le monde croit à un suicide de ta part… Personne n’a remarqué qu’il s’agissait en réalité d’un meurtre, je ne finirais donc jamais derrière les barreaux ! Tu sais, petit rubis, je suis là depuis ta naissance !
Je me rappelle parfaitement de ce jour, c’était un treize novembre, un vendredi. Une forte tempête soufflait dehors, vent, pluie, éclairs… Après t’être faite attendre, tu es finalement née, avec les cheveux noirs et lisses de ta mère et d’incroyables yeux de flammes tu étais si belle, mais si protégée par tes parents… Ils étaient tellement heureux de t’avoir, leur petite fille si jolie… Tu avais une grande sœur, Lacie, avec les même cheveux que toi, elle était tellement heureuse d’avoir une petite sœur, elle s’occupait si bien de toi… Tu grandissais bien, tu devenais de plus en plus belle, et dans la famille, tout ne tournait plus qu’autour de toi : tes parents, ta sœur, tes grands-parents, les domestiques… Tu étais la reine des reines, et tout tournait donc autour d’une seule paire de fesse : la tienne, tu étais juste le nombril du monde, Alice. Tu avais tout ce que tu voulais : des livres, des poupées, des robes, des animaux, des rubans, des boites à musique, des peluches, des fleurs, des bijoux…
Et puis tu n’as cessé de grandir, devenant de plus en plus méchante avec ceux qui ne te suivaient pas. Certains quittaient l’école pour harcèlement moral, d’autre se faisaient frapper par des grands à qui tu le demandais, tu n’étais pas une petite fille mais un monstre, oui tu m’as bien entendu Alice, un monstre. Bien sûr, dans ta famille, tout le monde pratiquait la magie, tu t’y mis donc aussi. Tu étais douée, admirée comme toujours, adulée… Les années passèrent et rien ne changea, tu étais toujours horrible par derrière, une manipulatrice. Puis vint le jour où tu tuas cette fille. Et oui, je le sais, mais je sais tout de toi ma chère Alice, mon étoile. Elle s’était moquée de toi, pour un motif X ou Y puis tu avais certainement répliqué, elle t’avait frappée. Le lendemain, tu avais amené un revolver dans l’école que tu avais acheté illégalement d’une façon que j’ignore – mais c’est la seule chose que je ne sais pas de ton histoire. Tu lui as demandé de te suivre pour lui parler, à cette fille, et une fois à l’écart, tu as tiré. Une seule balle dans la tête. Les policiers n’ont jamais trouvé de meurtrier, tu as tellement bien joué la comédie avec tes larmes de crocodile ! Tellement couvée et protégée par ta famille, personne n’a même soupçonné que tu étais derrière tout ça. Moi je le savais, mais je n’ai rien dis.
Les années ont encore passé, tu as encore grandit et tu es devenu une belle jeune femme de seize ans, aux mains tachées de sang. J’ai continué de t’observer pendant toutes ces longues années, j’étais horrifié de voir que tu n’éprouvais pas le moindre remord par rapport à tes actes, au contraire, tu en as tué d’autre : ce garçon, qui avait refusé tes avances, cette fille avec qui il sortait, et tellement d’autres encore… Finalement, tes parents t’ont placé dans un pensionnat pour les personnes spéciales, ces personnes magiques… Et tu as continué à vivre tranquillement ta vie, sans te soucier le moindre du monde de celles que tu avais prises… Alors six ans après, j’ai décidé de faire moi-même la justice, et j’ai mis fin à tes jours, ce jour-là, quand tu étais sur le toit. Je t’ai simplement poussée, et le choc avec le sol t’a tué net. Pas de souffrance, juste quelques dixièmes de seconde pour réaliser que ta vie allait s’arrêter. Boum ! Tu t’es écrasée en bas, tout le monde à cru à un suicide. Tu as eu des funérailles couteuses et glorieuses, j'en ai eu envie de vomir ! Fin de l’histoire. Je n’ai jamais été soupçonné et je ne le serai certainement jamais. Alors que toi, avec ta dette en karma, tu seras très certainement condamnée à errer sur Terre pour l’éternité… Dommage, un mon joli rubis ! Passe une bonne mort à ressasser tes crimes ! Car maintenant tu es morte, pauvre garce !
A. N. O'Nyme, le vendredi 13 novembre 1932. Partie administrative ♥ ♥ Code : Patate PerdueOkay ♥ Comment avez vous connu le site ? Par un partenariat, il me semble... ♥ Validé par : Validé par Akumo~♥ |
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